​par l'équipe Nexus Sports

Les efforts de recrutement ont repris et plusieurs engagements se révèlent peu à peu. Mais qu’en est-il des nombreux autres qui ne se sont pas encore engagés et, plus important encore, qu’arrivera-t-il à ceux qui avaient l’intention de prouver leur valeur lors des prochains camps d’hiver ?


Il s’agira probablement de la deuxième année consécutive sans qu’il y ait d’essais en février ou en mars. Bien que cela pose un défi, cela n’a pas empêché les étudiants-athlètes en 2020 de se faire partie d’une équipe la saison dernière. Au contraire, le manque d’opportunités n’a fait que rendre la plupart des étudiants-athlètes plus résilient et plus sages !


Pourquoi plus sage ? Les recrues de 2020 n’ont pas pu visiter les installations et n’ont donc pas vraiment pu se sentir « sensibles » à l’environnement, aux services et aux installations. De plus, ils n’ont pas été en mesure de démontrer leurs compétences pendant l’hiver ni de se faire une idée du niveau de compétition auquel ils seraient confrontés. Leur décision était principalement basée sur les universitaires et la logistique, en fin de compte.


Pourquoi résilient ? Le fait de ne pas avoir d’événements hivernaux pour faire leurs preuves leur a fait comprendre qu’ils n’avaient qu’une seule chance, une seule occasion de faire partie de l’équipe ; un exploit qui se produirait au moins 4 mois après s’être engagé dans le programme.


Nous sommes à 2 semaines du mois de février avec peu d’indications que le gouvernement du Québec permettra à de tels événements d’avoir lieu. En tant que tels, les étudiants-athlètes actuellement non engagés se retrouvent désavantagés car certains ont peut-être prévu de participer à ces camps pour prendre une décision finale avant de soumettre leur demande de date limite du 1er mars. Si 2020 était une indication, il est possible de faire un choix et cela peut faire de vous une meilleure personne ou un meilleur joueur à la fin.