Par l'équipe Nexus Sports 

 L’entraineur-chef des Tigers de l’université Clemson de la NCAA, Coach Dabo Sweeney se dit être à la recherche de « gars » multisports lorsqu’il est en période de recrutement . L’ancien mal-aimé de la LNF, le receveur de passe Chad “Ochocinco” Johnson attribue son ascension aux rangs professionnels au fait que sa grand-mère l’ait inscrit à tous les sports organisés auxquels il désirait participer en grandissant. Le quart-arrière de la LNF, Colt McCoy, louange les bénéfices de pratiquer plusieurs sports – surtout en matière de développement des habiletés. Aaron Rodgers, également un quart-arrière dans la LNF pour les Packers de Green Bay, vante, lui aussi, les mérites d’être un athlète multisport. Lors d’une conférence téléphonique à l’automne 2016, on demandé à Rodgers de s’exprimer sur les qualités athlétiques de la recrue Carson Wentz, quart-arrière pour les Eagles de Philadelphie. Rodgers a présumé les habiletés athlétiques de Wentz étaient le résultat d’avoir pratiquer plusieurs sports à l’école secondaire – et il n’avait pas tort. Wentz avait en effet joué au basketball et au baseball alors qu’il fréquentait l’école secondaire et les habiletés qu’ils a accumulés et perfectionnés lui servent en ce moment sur le terrain. Sa capacité à altérer ses lancers, son jeu pied rapide dans la pochette et ses habiletés de base sont quelques exemples qu’il a notés. Aaron Rodgers tentait de faire valoir un point saillant quant à la spécialisation (le même point que Johnson et McCoy ont présenté dans leur bande vidéo) qui est le suivant : les joueurs de la LNF sont mieux nantis lorsqu’ils possèdent une diversification sportive. . 

Nous sommes convaincus que n’importe quel parent qui lit ces lignes seront en accord avec l’idée de base que les habiletés athlétiques se développent plus aisément dans un environnement multisports. Le défi, par contre, est de concilier cette approche avec des horaires qui se chevauchent continuellement et des organisations qui semblent maintenir une culture de « peur » de perdre leurs athlètes. Les étudiant(e)s-athlètes qui s’engagent dans les équipes scolaires, il ne devrait pas y avoir de questionnement. La responsabilité première de l’école est de formé des étudiant(e)s-athlètes et non pas des joueurs de football, joueurs de basketball ou des nageurs. En mettant de côté de volet académique pour un instant, les programmes scolaires se doivent d’être rodé en fonction de permettre aux étudiant(e)s-athlètes d’apprendre, se développer et s’épanouir. Les étudiant(e)s-athlètes qui s’engagent dans les équipes sportives des circuits civils, le défi peut être plus difficile à relever car on parle de plusieurs organisations indépendantes les unes des autres. Par contre, soyez rassuré, vous avez des options qui s’offrent vous. En décidant de pratiquer 2 ou 3 sports récréatifs au lieu d’un seul sport compétitif et intensif, vous leur donnez la chance de développer leur perspicacité, leur endurance et relations interpersonnelles. 

Une autre option serait de pratiquer un sport compétitif en plus de s’adonner à quelque chose de plus récréatif comme de jouer au hockey et pratiquer les arts martiaux ou le soccer et le ski. Lorsque vous recherchez un sport complémentaire au sport compétitif pratiqué, soyez à la recherche de sports qui ont un horaire de courte durée ou intensif. Pourquoi on fait tout cela? Si votre enfant a comme objectif de jouer aux niveaux collégiales ou universitaires, d’avoir un tel « bagage » athlétique lui servira fort probablement à grand escient. Si non, on le fait pour leur permettre de découvrir qui ils sont et pour mettre un sourire au visage des êtres les plus chers.​